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Chaque année, l’association nationale de journalistes Profession:Pigiste organise les “48h de la pige”, un événement rassemblant les professionnels des médias rémunérés à la pige. En 2013, ce rendez-vous rituel s’est tenu à Science-Po Aix-en-Provence grâce à une collaboration avec le collectif régional Presse-Papiers.
En tant que membre fondatrice de ce collectif, Marjolaine Dihl s’est largement investie dans l’organisation de l’édition 2013. Ponctué de tables rondes, projections, conférences, ateliers et formations sur le métier de journaliste, ce colloque a interrogé le thème : « Le journalisme de demain passe-t-il obligatoirement par le web ? ». Ouvertes gratuitement à tous les journalistes pigistes, ces rencontres ont notamment accueilli François Missen (Prix Pullitzer et Prix Albert-Londres), Denis Robert, auteur de l’enquête Clearstream et Xavier Monnier, rédacteur en chef de Backchich.info. (Crédits photos : Nicolas Réméné.)
Pour qui ?
48h de la pige
Pourquoi ?
Solidarité professionnelle, coopération pigiste
Services
Tables rondes & conférences
Date
2013
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Un rendez-vous formateur
Porté, en 2013, par Andréa Haug (JRI), Martine Debette (journaliste rédactrice), Denis Dalsmasso (photographe) et Marjolaine Dihl, le collectif Presse-Papiers a acquis une expérience en matière d’organisation événementielle. De quoi développer ses pratiques coopératives et sa capacité de mise en réseau.
Coopération
Un événement tel que “Les 48h de la pige” démontre combien l’intelligence collective peut générer des résultats de qualité. Grâce à la collaboration de deux équipes associatives, ces deux journées ont permis de réunir près de 150 participants.
Contenu
Trouver un thème fédérateur. Décliner les grandes lignes qui composeront le programme. Rechercher les intervenants les plus pertinents. De nombreux coups de fils et bon nombre de réunions plus tard, le contenu des conférences et tables rondes était sur pieds.
Animation
Exercice de style particulier, l’animation de tables rondes porté par le collectif Presse-Papiers a permis de faciliter la libre l’expression des intervenants. Mais le rythme du colloque s’est aussi joué sur le live-tweet improvisé durant les débats. Un travail collectif !